J’ai pensé qu’il fallait le publier

M. L., Espagne

En août dernier, un couple très ami du notre nous confia que monsieur venait d’être licencié de son travail.

Dès que je l’appris je me suis dit: ce travail, il faut le confier à saint Josémaria et avec mon mari, nous avons décidé de lui donner une image. Ils furent très contents de ce cadeau. Ils en avaient déjà quelques exemplaires chez eux parce qu’ils vont tous les ans à Torreciudad, mais ils étaient spécialement reconnaissants pour celle-là. Ils allaient faire une neuvaine. Nous leur avons promis d’en faire une aussI.

J’étais sûre qu’au bout de neuf jours nous allions avoir des nouvelles de ce travail. Ce ne fut pas le cas et au lieu de nous décourager, nous avons recommencé, une fois et une autre. Vers la mi-septembre, nous avons eu une lettre : il avait déjà du travail alors qu’il était resté moins d’un mois au chômage, puisqu’il avait bénéficié de vacances plus longues. Bien entendu, nous avons remercié Dieu qui avait exaucé saint Josémaria et je me suis dit qu’il fallait publier cela.