Opus Dei

En rentrant de l’école, Josémaria arrivait en trombe. - Maman, maman, je suis là ! Et il allait à la cuisine pour grignoter. Il en sortait avec deux ou trois frites à la main.

Josémaria qui avait deux ans, avait toujours été en pleine forme. Cependant, un matin, au réveil il était tout penaud et sans vitalité. Il n’avait pas faim, il était mal en point. Il avait une grosse fièvre. Les heures tournaient et la fièvre ne baissait pas. Les médecins savaient que c’était grave et qu’on n’y pouvait plus rien.

Carmen était coiffée de deux petites nattes. Elle est très gentille et très pieuse : charmante. Mais, elle aimait bien commander… Non seulement il n’obéissait pas mais dès qu’elle était distraite, il lui défaisait les nœuds et Carmen devait refaire ses tresses deux ou trois fois par jour.

‘"L’Histoire d’un oui”’ a été le premier livre sur saint Josémaria écrit et illustré pour les enfants, de huit à quatre-vingt ans, comme le précise Isabel Torra, son auteur. Traduit en plusieurs langues, il est à l’origine de nombreuses anecdotes sur la diffusion du message de saint Josémaria dans les endroits les plus reculés du monde. L’histoire de sa rédaction est tout aussi insolite.

Chanté par la chorale des enfants dans la crèche Torrecillas en Pérou, a été composée par Monica Roca, qui explique que les paroles de la chanson, a été inspiré par le livre "L'histoire d'un Oui."

C’était l’automne. Les vendeurs de marrons chauds s’installaient. Don José leur en achetait un cornet et le mettait dans sa poche. Dès qu’il entendait ses pas derrière la porte qui s’ouvrait, Josémaria arrivait en courant.

Quant à la Messe, je sais que tu fais comme moi, tu vas à la messe le matin et c’est à partir de l’angélus de la veille que tu t’y prépares. Tu as dans ta tête que tu vas dire ta messe le lendemain et cela t’aide à entourer les âmes de ton affection.

Tous les ans, en la fête de doña Dolorès, don José et les enfants attendaient le fameux dessert du jour. La porte de la salle à manger s’ouvrait… et les «créspillos» apparaissaient! C’était des beignets sucrés aux épinards que doña Dolorès ne faisait que ce jour-là… Voici cette recette à inclure dans votre menu familial. Elle est très simple et économique.

Tous les ans, en la fête de doña Dolorès, don José et les enfants attendaient le fameux dessert du jour. La porte de la salle à manger s’ouvrait… et les «créspillos» apparaissaient! C’était des beignets sucrés aux épinards que doña Dolorès ne faisait que ce jour-là… Voici cette recette à inclure dans votre menu familial. Elle est très simple et économique.

Paulina Monckeberg auteur, illustratrice et créatrice de “Heurs et malheurs d’un âne à la noria et de son p’tit horloger” (“Vida y venturas de un borrico de noria... y su relojerico“) nous dit comment ce livre a vu le jour.