Octobre, mois du Rosaire

Le commencement de ce chemin menant jusqu'à la folie de l'amour de Dieu est un amour confiant envers la Très Sainte Vierge Marie. C'est ce que j'ai écrit, il y a déjà bien longtemps, dans le prologue à des commentaires du saint rosaire. Depuis lors, j'ai pu m'assurer bien souvent de cette vérité (cf. Quand le Christ passe, 143, 4)

C'est parce que Marie est Mère que notre dévotion à son égard nous apprend à être enfants, à aimer pour de bon, sans mesure; à être simples, sans les complications nées de l'égoïsme, parce que nous ne pensons qu'à nous-mêmes ; à être joyeux, en sachant que rien ne peut détruire notre espérance. Le commencement de ce chemin menant jusqu'à la folie de l'amour de Dieu est un amour confiant envers la Très Sainte Vierge Marie. C'est ce que j'ai écrit, il y a déjà bien longtemps, dans le prologue à des commentaires du saint rosaire. Depuis lors, j'ai pu m'assurer bien souvent de cette vérité. je ne vais pas faire ici de grands raisonnements pour commenter cette idée ; je vous inviterai plutôt à en faire l'expérience, à la découvrir vous-mêmes en recherchant avec amour la compagnie de Marie, en lui ouvrant vos cœurs, en lui confiant vos joies et vos peines, en lui demandant de vous aider à connaître et à suivre Jésus.

Quand le Christ passe, 143, 4

Dans nos relations avec notre Mère du Ciel, se retrouvent aussi ces gestes de piété filiale qui expriment notre attitude habituelle envers elle. Bien des chrétiens adoptent l'ancienne coutume du scapulaire, ou bien ils ont pris l'habitude de saluer — point n'est besoin de mots, une pensée suffit — les images de Marie qui se trouvent dans tout foyer chrétien ou qui ornent les rues de bien des villes; ou encore ils récitent la merveilleuse prière qu'est le rosaire, où l'âme ne se lasse point de redire toujours les mêmes choses, pas plus que ne s'en lassent les amoureux quand ils s'aiment, où elle apprend à revivre les moments dominants de la vie du Seigneur ; ou bien, enfin, ils s'habituent à consacrer à Notre Dame un jour de la semaine, justement celui où nous sommes réunis, le samedi, en lui offrant une petite attention et en méditant plus particulièrement sur sa maternité.

Quand le Christ passe, 142, 6

Qu’elle soit intense, ta dévotion pour notre Mère. Elle qui sait répondre avec tant de délicatesse aux présents que nous lui offrons.

— En plus, si tu récites tous les jours le Saint Rosaire dans un esprit de foi et d’amour, Notre Dame se chargera de te conduire très loin sur le chemin qui mène à son Fils.

Sillon, 691

Le Saint Rosaire. — Les joies, les douleurs et les gloires de la vie de la Vierge tissent une couronne de louanges, que redisent indéfiniment les Anges et les Saints du Ciel…, et ceux qui aiment notre Mère ici-bas, sur la terre.

— Pratique quotidiennement cette sainte dévotion, et diffuse-la autour de toi.

Forge, 621

Le saint Rosaire est une arme puissante. Fais-en usage avec confiance et tu seras émerveillé des résultats.

Chemin, 558

Le Rosaire est très efficace pour ceux qui ont pour armes l’intelligence et l’étude : lorsqu’ils implorent Notre Dame, l’apparente monotonie de ces enfants qui supplient leur Mère détruit en eux tout germe de vaine gloire et d’orgueil.

Sillon, 474

Tu remets toujours ton chapelet à plus tard, et tu finis par l’omettre car tu as sommeil. — Si tu n’as pas d’autres moments, récite-le dans la rue et sans que personne ne s’en rende compte. En outre, cela entretiendra mieux la présence de Dieu en toi.

Sillon, 478

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